Contacts diplomatiques avec le représentant de l'OTAN.
Malgré les notifications discordantes, l'Iran réagit évidemment positivement aux avances du nouveau gouvernement US. Les USA et l'Iran ont en effet, à l'heure actuelle un problème commun : l'Afghanistan. Un diplomate iranien et un représentant du secrétaire général de l'OTAN, Jaap de Hoop Scheffer se sont rencontrés la semaine passée dans le quartier général de l'OTAN.
Le Ministère des affaires étrangères iranien, annonçait à Téhéran jeudi, que l'Iran enverra son représentant à la conférence sur l'Afghanistan la semaine prochaine aux Pays-Bas. En outre, il s'est ébruité que l'Iran a envoyé un délégué au sein de l'OTAN à Bruxelles pour la première fois depuis trois décennies.
Un diplomate iranien et un représentant du secrétaire général Jaap de Hoop Scheffer, se sont rencontrés la semaine passée dans le QG de l'OTAN, annonçait jeudi l'OTAN. Lors de la rencontre, il s'est déroulé un entretien de sondage mutuel sur la thématique Afghane, d'après un représentant de l'union militaire. Un autre représentant de l'OTAN disait, que Téhéran s'intéresse à une collaboration possible au regard de l'Afghanistan.
La visite du diplomate iranien a été le premier contact en la matière depuis la fondation de la république islamique d'Iran en décembre 1979, d'après le porte-parole de l'OTAN. L'instabilité augmentant dans ce pays voisin de l'Afghanistan représente un problème pour l'Iran. Le pays a lutter contre l'immigration des réfugiés afghans ainsi que contre la contrebande de drogue.
Avant que l'alliance du nord renverse le régime des Talibans en Afghanistan mené par les USA en 2001, l'Iran avait soutenu l'opposition contre Taliban - avant tout, la minorité chiites, d'Hasara.
Sur invitation de Clinton.
La conférence sur l'Afghanistan, lancé sous l'initiative du ministre des affaires étrangères US, Hillary Clinton. Clinton y avait invité l'Iran sans grand espoir. Jeudi encore, annonçait le Ministère des affaires étrangères US, il n'y avait aucun plan de conversations entre Clinton et le représentants Iranien à la Haye.
Le ministre des affaires étrangères iranien, Manuchehr Mottaki, disait à l'agence de presse semi-officielle, Fars, que pour l'Afghanistan une solution régionale devrait être trouvée. Son pays étant disposé à soutenir ses voisins dans la lutte contre les Taliban radicaux-islamique.
L'invitation est partie du nouveau cours du président US, Barack Obama. Il avait adressé à l'Iran, lors de la fête du nouvel an persan en fin de semaine passée, qu'une renaissance dans leurs relations allé s'édifier. A noter que jusqu'à présent les USA et l'Iran n'entretiennent aucune relation diplomatique depuis 1980 et que l'ambassade suisse représente les intérêts des USA à Téhéran.
"L'offre" d'Obamas avait repoussé par les autorités iranienne part des mots aiguisés. Ainsi avait expliqué le chef d'état Iranien, l'Ajatollah Ali Chamenei, que le peuple iranien ne boit pas la propagande américaine.
Les différences entre les deux États sont grands - entre autres choses à cause du programme atomique iranien. L'ouest reproche à l'Iran de vouloir construire secrètement une bombe atomique. L'Iran le ni. La Russie propose l'entremise.
Il y aura déjà l'occasion pour un contact direct entre les partis demain, vendredi. En effet, à Moscou, débutera le groupe de réflexion sur l'Afghanistan. A côté des acteurs déjà évoqués nous compteront la présence de la Chine et des républiques centrales-asiatiques. Les deux pays enverrons leurs ministres des affaires étrangères respectifs à Moscou. L'hôtesse du sommet, la Russie a d'ailleurs proposé aux USA de les aider dans la construction d'un dialogue avec Téhéran.
Sources: afp/sda/reuters
Cédric Sébastien Mauvernay
Malgré les notifications discordantes, l'Iran réagit évidemment positivement aux avances du nouveau gouvernement US. Les USA et l'Iran ont en effet, à l'heure actuelle un problème commun : l'Afghanistan. Un diplomate iranien et un représentant du secrétaire général de l'OTAN, Jaap de Hoop Scheffer se sont rencontrés la semaine passée dans le quartier général de l'OTAN.
Le Ministère des affaires étrangères iranien, annonçait à Téhéran jeudi, que l'Iran enverra son représentant à la conférence sur l'Afghanistan la semaine prochaine aux Pays-Bas. En outre, il s'est ébruité que l'Iran a envoyé un délégué au sein de l'OTAN à Bruxelles pour la première fois depuis trois décennies.
Un diplomate iranien et un représentant du secrétaire général Jaap de Hoop Scheffer, se sont rencontrés la semaine passée dans le QG de l'OTAN, annonçait jeudi l'OTAN. Lors de la rencontre, il s'est déroulé un entretien de sondage mutuel sur la thématique Afghane, d'après un représentant de l'union militaire. Un autre représentant de l'OTAN disait, que Téhéran s'intéresse à une collaboration possible au regard de l'Afghanistan.
La visite du diplomate iranien a été le premier contact en la matière depuis la fondation de la république islamique d'Iran en décembre 1979, d'après le porte-parole de l'OTAN. L'instabilité augmentant dans ce pays voisin de l'Afghanistan représente un problème pour l'Iran. Le pays a lutter contre l'immigration des réfugiés afghans ainsi que contre la contrebande de drogue.
Avant que l'alliance du nord renverse le régime des Talibans en Afghanistan mené par les USA en 2001, l'Iran avait soutenu l'opposition contre Taliban - avant tout, la minorité chiites, d'Hasara.
Sur invitation de Clinton.
La conférence sur l'Afghanistan, lancé sous l'initiative du ministre des affaires étrangères US, Hillary Clinton. Clinton y avait invité l'Iran sans grand espoir. Jeudi encore, annonçait le Ministère des affaires étrangères US, il n'y avait aucun plan de conversations entre Clinton et le représentants Iranien à la Haye.
Le ministre des affaires étrangères iranien, Manuchehr Mottaki, disait à l'agence de presse semi-officielle, Fars, que pour l'Afghanistan une solution régionale devrait être trouvée. Son pays étant disposé à soutenir ses voisins dans la lutte contre les Taliban radicaux-islamique.
L'invitation est partie du nouveau cours du président US, Barack Obama. Il avait adressé à l'Iran, lors de la fête du nouvel an persan en fin de semaine passée, qu'une renaissance dans leurs relations allé s'édifier. A noter que jusqu'à présent les USA et l'Iran n'entretiennent aucune relation diplomatique depuis 1980 et que l'ambassade suisse représente les intérêts des USA à Téhéran.
"L'offre" d'Obamas avait repoussé par les autorités iranienne part des mots aiguisés. Ainsi avait expliqué le chef d'état Iranien, l'Ajatollah Ali Chamenei, que le peuple iranien ne boit pas la propagande américaine.
Les différences entre les deux États sont grands - entre autres choses à cause du programme atomique iranien. L'ouest reproche à l'Iran de vouloir construire secrètement une bombe atomique. L'Iran le ni. La Russie propose l'entremise.
Il y aura déjà l'occasion pour un contact direct entre les partis demain, vendredi. En effet, à Moscou, débutera le groupe de réflexion sur l'Afghanistan. A côté des acteurs déjà évoqués nous compteront la présence de la Chine et des républiques centrales-asiatiques. Les deux pays enverrons leurs ministres des affaires étrangères respectifs à Moscou. L'hôtesse du sommet, la Russie a d'ailleurs proposé aux USA de les aider dans la construction d'un dialogue avec Téhéran.
Sources: afp/sda/reuters
Cédric Sébastien Mauvernay
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